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66              ARCHIVEB I):E  QUEBEC

                                    est maintenant en ruine et Auclair  deniande qu'il  soit re-
                                    bâti par ceux qui s'en servent  (no 2699).
                                        Octobre 1746.
                                        Requêt,e de Jean-Baptiste  Savard, habitant  du villa-
                                    ge de 1'01-mière, paroisse de Charlesbourg, au grand-voyer
                                    de  la Nouvelle-France.  où  il lui  représente  que  par  son
                                    procès-rerbal des 4 et 5 juillet  1745 il a obligé les iioinmCs
                                    Francois Bédard, Etienne BEdard, Pierre Lemay et Pier-
                                   re Savard à  eoriduire l'eau  d'lin  certain ruisseau dans la
                                   ligne de Pierre Martel. Ce que les siisnomniés n'ont pas eu-
                                    core  fait à  son  gi'arid  clétriment  puisque  son  chemin  est
                                    inondé.  Il de~iiantle que le fossé eil question soit fait im-
                                    nildiatment  (no 2703).
                                        30 septembre 1747.
                                        Requête d'Ignace  Leroux, talit  pour liii que polir  les
                                    ùiit,res habitarits cle Charlesbourg, ses voisins, à M. Lanoul-
                                    lier de Boisclerc, grand-voyer tle la xourelle-France,  pour
                                   que l'on donne siiitc à la décision pric,e 1 'année dernière de
                                    faire lin chemin  dr Chailesbourg 5  1s  Jeune-Lorettc  (no
                                    2708).
                                        7 mai 1749.                                               .
                                        Requête de  Pierre  Beauniont, habitant  de  Charles-
                                   bourg, à M.  Lanoiillier  de  Boisclerc,  grand-voyer  de la
                                   Nouvelle-Francie., au sujet d'une terre qu'il a achetée dans
                                   la seigneurie  de  Saint-Augustin, dépendante  de  l'Hôtel-
                                   Dieu de Québec. Cette terre est  située au quatrième rang
                                    de Saint-Augustin et pour s'y rendre il doit passer par les
                                   terres  des  autres habitants,  ses  concitoyens.  Ceux-ci  ne
                                   veulent pas le laisser passer niême à pieds.  Demande au
                                    grand-voyer de les forcer à le laisser passer  (no 2'719).
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