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ARCI-IIVES DE; QUEBEC 3

aux-Trembles, A Son ExceIlencc Frederic Haldiniand, le
suppliant d'ordonner que la poste passe par le cliemin le
long du Petit,-Lac qui est beau, très praticable eil toutes
saisons, qui raccourcit d'une lieue et par lequel passent
tous les Toyageurs, tandis que le eliernin du village Brûlé
de Saiiit-Augustin par lequel M. EI-~iigli Finlay leur a ordoii-
né de passer a une longueur (l'une poste h l'autre de plus
de onze lieues, aller et retour. et est daris un Gt,at absolu-
ment dangereux.
24 f ériler 1783.
Requête de Louis Loizelle, François Julien, Etieime
Dion, Joseph Cloutier, Joseph Côté, Charles Yoreau, ha-
bitants de l'ancienne-Lorette et de la Jeune-Lorette, ù
Jean Renaud, grand-royer (III district de Québec, au sujet
des routes qui conduisent des deux Lorette à Québec. Elles
sont absoluinerit inauTaises en été comme en hiver. On si-
gnale particulièrement les routes de la terre à Cadet, les
trois côtes de Sable et les routes de XM. Caldwell et Ro-
binson qui sont pires que toutes les antres.
4 juillet 1784.
Lettre de l'honorable Henry Caldn~ell ii soli voisin M.
X. oii il se plaiut que ses animaux vont paître dans ses prai-
ries, errent dans les chemiris, etc.
8 jidlet 1784.
Réponse (le Zil. X. à l'lionorahle 91. Henry Caldwell
ail sujet de ses plaintes. Il n'a pas besoin d'être surpris si
les animaux de ses voisins ront sur ses terres. Il n'a pas
de clôtures de ligne, etr., et ses clieinins sont cn très mau-
rais état.
9 mars 1786.
Jugenient de Jean Renaud, grand-royer du district