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entre deux clôtures, d'essoucher  le dit chemiil, ôter les ro-
                           ches, abattre les buttes, remplir les vallons  et de faire les
                           ponts  nécessaires  pour  la  commodité  et  sûreté publique.
                           (Cahier 3, p. 30).
                               4 juin  1732.
                               Ordonnance dc  Gilles  Hocqua~t: intendant,  qui, par
                          l~rovision, décide que les habitants de Lorette contribueront
                           avec  les habitants  de  Charlesbourg  au  rétablissement  di1
                          polit  de  la  rivière du Berger.  (Ordonnances  des  Inten-
                          dants, cahier 20, p. 69).
                               4 juin 1732.
                               Procès-verbal (le Jean-Eustaclie  Lanoullier  de  Bois-
                          clerc au sujet du chemin de la ville des Trois-Rivières, de
                          la banlieue  et  dcs  scigmeuries de Vieux-Pont,  Labadie  et
                          autres habitatioiis qui comnienceilt à la dite ville des Trois-
                          Rivières et vont jusqu'à  l'habitation du sieur Jutras, avec
                          ordre  de conserver  l'ancien  cllemin,  qui  sera  de  vingt-
                          quatre pieds de largeur, d'abattre les arbres, d'essoucher  et
                          aplanir les buttes, de faire les ponts et fossés nécessaires,
                          c:t,c, etc.  (Cahier 5, 11. 31).
                               4 juin 1732.
                               ProcCs-verbal  de  Jean-Eustaclie  Lanoullier  de  Bois-
                          clerc au sujet du chen~iii de la  seigneurie de Tounancour :
                          ordre à  t,ou~ les Iia.bit,ant,s int,6ressésj tant  a.u chemin  des
                          côteaux du bord rlu fleuve jusques  à. la rivière aux Loutres
                          qu'à ceux de la dite seigneurie de Tonnancour, d'entretenir
                          un  clienlin de vingt-qiiatre pieds de largeur, d'abattre  les
                          arbres,  d'e~souclier~ efferclocher, ôter  les  roches,  aplanir
                          les buttes et faire les levées liécessaires pour rendre le dit
                          rliemin praticable et roulant pour l'utilitc de la correspon-
                          dance.  (Cahier 5, p. 32).
                               5 juin  1732.
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