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ARCHIVES DE QUEBEC                         223

                             laissés ouverts et libres pour l'usage du public, sauf au dit
                             Magnan d'avoir  recours  contre qui  il  appartiendra  pour
                             le prix de son terrain."  (Cahier 7, p. 116).
                                  15 juillet 1785.
                                 Ordre de Jean Renaud  au capitaine Bourassa, de la
                             Pointe-Lévis, de faire savoir aux intéressés qu'il  a plu au
                             gouverneur  en  conseil d'annuler  son procès-verbal  de la
                             route des Samson, et de mettre  à exécution  son ordre du
                             22 mars 1784, au sujet des clôtures qui doivent être faites
                             dans cette route.  (Cahier 7, p. 116).
                                 15 juillet 1785.
                                 Ordre de Jean Renaud aux capitaines Jacques Jobin,
                             Giroux et Rainville, des paroisses  de Cliarlesbourg et de
                             Beauport, pour  avertir  les habitants  de  Charlesbourg,  la
                             Caiiardière et Beauport  qu'ils  devront travailler  sous la
                             direction du capitaine Liard, de Saint-Roch, au quai dont
                             la construction a été ordonnée pour la protection  du che-
                             min du  Passage, sur le bord  de la  rivière  Saint-Charles,
                             au nord-est et tout proche du fossé de ligne des Dames de
                             l'Hôtel-Dieu et des Pères Jésuites.  (Cahier 7, p. 117).
                                 15 juillet 1785.
                                 Ordre de Jean Renaud  au sieur Liard, capitaine  des
                             milices du faubourg Saint-Roch à Québec, pour  la  cons-
                             truction d'un  quai au nord-est  et tout proche du fossé de
                             ligne entre les Dames de l'Hôtel-Dieu et les Pères Jésuites
                             sur le bord de la rivière  Saint-Charles pour empêcher les
                             éboulis de terre qui se font tous les ans et protéger  ainsi
                             le chemin neuf  qui conduit au  Passage  de la dite rivière
                             Saint-Charles.  (Cahier 7, p. 117).

                                 18 août 1785.
                                 Procès-verbal  de Jean Renaud qui accepte le chemin
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