Page 142 - Transcriptions d'actes notariés - Tome 20 - 1682-1686
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problème très aomplese. Nos denx aom dJean les plas impoiaanta,
la rivih Ronge et PMboke, &nt mdns ponr ainsi dire inertm,
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convertis en véritables àgonta, en rbeptaclea des immondices et da
matières nuisibles à la amta. Dans la Fille de T7innip.g surtout la
situation est très grave, et avec une population qui augmente si mpi-
dement l'&kt sotne1 des ch-
peut de~aair nn danger. Tom le égon~
de cette ville ae diive-t dans lea deux rivïBres sumentionni%:
il y a ii une menacrt pour la sant6 publique. Nul donte que de sem-
blables eonditiom exktent en diaers autres endroita pu tout le paya,
et je suià pmoad6 $elles n'ont aueune raison d'être. Certes, iI
devrait y a+ me fin es mode de ammpre nus wttrs d'eau natw
rela La loi, dans sa teneur actuelle, stmble, jmqu'8 ua amin pin4
fusL%err la canta~&iatioh decs eaux copranfxs et Yabsm&on de leur
coq purvu qne de ce ch& le pnblk ne eoufke pas. De teb àraita
ne sanraient être pudi%& que d'abus privilégik On $est fait A
l'idée daos les &virons des grandea des, il est hpoersible d'a-
@cher de der las riviba par les @*; et, ee Qu'il y a de plu9
triste à gon&&er, c'est qne m sont les autorité muniaipaie8 qui sont
les pires conp&lea Tde étant h situation, riches BU pmes s'b
biwent B dave~ir la tihoiirs muets de 'ce danger, et aJg soumettent
corne à une sorb de fatali6. D9ap.èf, moi, le mopa d'emeher
cette wuiilure do noB murs #mu par les dtkheta, les égouts et les
d6bns pntrewibles, rem mr me l@lation énergique et uniforme,
applicable ami h&&& intemtha~
M. WWD: Voilà, en +kstun6, l'opinion que nom entretenons
sm ce enjet daas nom provinm. hi qmtion me amble si TW et
~i cmmpliquée, qu'il noua faudra baancoup de tempe avant d'arriver
à la mlntisn. Les pnvmemenb pvinçtanx ont certainement de
droits wr eertams eom dJeau, et le Gouvernement Fédéral jonit de
pareils pridw; et, mame l'a dit le fickm, ii nom faadra éb-
dier lei qnesftiona d'mi intér6t-inteniatimal. Ge, snjet est d'une im-
portance extr~ordinaire, et la soiution me trh diifloile.
3L hat: ad. Siton peass qn'il serait pnt4tre péférable de
ifen- daas me cümwion gén6ra.b aujoudhui; ap& quoi, l'an
pommit former 1- pur lS6tude des diffbdm qmtiom,
ah que nom fonnnlians qnelques. rewxnmmdatione qui pwrrixtt
être prhntses -an Parlement. On a dit, d'aube part, que kt d b
aion &nWe ne Berait d'aame ntiliGI qu'il ~erai~ p&fQrabIe de
choisir les mmitb en ce mornea. ,n, ; ?-g*h;&~<~sI
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